Comme pour un particulier, il est nécessaire de préparer au mieux son dossier avant de se présenter chez son banquier. C’est également l’occasion de faire le point sur son projet en insistant sur ses points forts et en gommant ses faiblesses…

Dans le cadre d’une acquisition immobilière par exemple (murs et/ou fonds), il conviendra d’être vigilant sur les points suivants :

  • le prix de cession doit être conforme avec :
    • le marché sur lequel œuvre l’entreprise au moment de l’achat,
    • les finances de l’entreprise (excellents bilans, bons ratios, trésorerie suffisante, bonne capacité d’autofinancement, etc…) et ses possibilités de remboursement,
  • les capacités de l’entreprise à proposer un apport.
  • le projet doit être étayé par une mise à disposition de documents clairs et valides (bilans, k-bis, statuts, extraits de comptes…),
  • un business plan ou un plan comptable prévisionnel sur deux ou trois exercices est le bienvenu pour justifier de la juste intégration de cette acquisition dans la stratégie globale de développement de l’entreprise,
  • la cotation de l’entreprise (cotation Banque de France) doit être soignée. Il s’agit là d’un travail a mené deux à trois années précédents l’achat considéré (les banques s’y réfèreront dans tous les cas) ; la vie financière de l’entreprise ne doit en aucun cas avoir été perturbée antérieurement par des incidents de paiements, des problèmes de remboursements ou, pire encore, des procédures judiciaires.

La sollicitation d’un courtier expert en prêt professionnel est indéniablement un point fort…